What Do Older Canadians Think They Need to Walk Well?

Physiother Can. 2023 May 1;75(2):198-205. doi: 10.3138/ptc-2021-0021. eCollection 2023 May.

Abstract

Purpose: To identify older Canadians' perception of the importance of expert-generated elements of walking quality, and the contributors to and consequences of perceived walking quality.

Method: Cross-sectional survey of 649 adults was conducted through a commercial participant panel, Hosted in Canada Surveys.

Results: Of the 649 respondents, 75% were between 65 and 74 years old (25% ≥ 75) and 49% were women. The most important elements were foot, ankle, hip, and knee mobility with little difference in ranks across walking perception (Fr χ12 = 5.0, p > 0.05). People who were older by a decade were more likely to report poorer walking (POR: 1.4; 95% CI: 1.0, 1.7), as were women compared to men, and people who used a walking aid compared to none. Lung disease showed the highest association with a perception of not walking well (POR: 7.2; 95% CI: 3.7, 14.2). The odds of being willing to pay more for a technology to improve walking were always greater for those with a lower perception of their walking quality.

Conclusions: People who perceived their walking quality as poor were more likely to report poorer health and were willing to pay more for a technology to improve walking. This supports the opportunity of leveraging wearable technologies to improve walking.

Objectif : déterminer la perception des Canadiens âgés à l’égard de l’importance des éléments relatifs à la qualité de la marche produits par des experts et établir les incitatifs à la perception de la qualité de la marche, de même que les conséquences s’y rapportant.

Méthodologie : sondage transversal auprès de 649 adultes au moyen de Hosted in Canada Surveys, un groupe commercial de participants.

Résultats : sur les 649 répondants, 75 % étaient âgés de 65 à 74 ans (25 % ≥ 75 ans), et 49 % étaient des femmes. La mobilité du pied, de la cheville, de la hanche et du genou constituait les éléments les plus importants, et le niveau hiérarchique de chacun différait peu en matière de perceptions de la marche (test de Friedman [Fr] χ2 = 5,0, degré de liberté [ddl] 12, p > 0,05). Les personnes âgées d’une décennie de plus risquaient davantage de déclarer moins bien marcher (rapport de cotes proportionnel [RCP] : 1,4; IC à 95 % : 1,0 à 1,7), tout comme les femmes et les personnes qui utilisaient une aide à la marche. La maladie pulmonaire était la plus liée à la perception de moins bien marcher (RCP : 7,2; IC à 95 % : 3,7, 14,2). La probabilité d’être prêt à payer plus cher pour disposer d’une technologie destinée à améliorer la marche était toujours plus forte chez les personnes qui avaient une moins bonne perception de leur qualité de marche.

Conclusion : les personnes qui avaient une moins bonne perception de leur qualité de marche étaient plus susceptibles de se déclarer en moins bonne santé et étaient prêtes à payer plus cher pour disposer d’une technologie destinée à améliorer la marche. Cette constatation confirme la possibilité de mettre à profit des technologies portables pour améliorer la marche.

Keywords: biomedical technology; exercise; gait; self-management; walking.